"La grêve est terminée, tout rentre dans l'ordre..."
"... seule l'interconnexion gare du nord - gare de Lyon est suspendue."
Maurice, il habite à gare du nord, et il prend le RER à gare de Lyon. A croire que les journalistes se plaisent à se foutre de sa gueule.
"Et bien, Francis, on vous retrouvera, toujours en direct de la gare du nord, à 7h30"
Maurice, s'habille en vitesse tout en finissant sa tartine de jambon. Un yaourt, un coup de brosse à dents, il est dehors.
Il marche d'un pas rapide, arrive à gare du nord, fait le tour des quais. Le journaliste est là, dans un coin, un café à la main.
Maurice se fait discret, se terre derrière un journal acheté chez Relay et fixe sa montre.
Francis sort son microphone. Maurice s'approche en sifflotant et se rue sur le journaliste.
Francis y est pas pour grand chose, mais aujourd'hui il va payer pour les autres.
"Ici à gare du nord, les voyageurs sont... Bordel ! Mais qu'est-ce que...
- Rooh ! Mais vous pourriez pas regarder où vous allez ? Pas possible d'être aussi stupide !"
Maurice est content, il est passé à la radio. Il a insulté un journaleux. Sa journée en est illuminée. Rien ne pourra plus la gacher.
Francis continue son direct, mais du poing, il jette quelques obscurs malédictions dont Maurice n'a cure.
Maurice est dans le métro, ligne 4. Autour de lui, partageant son carré, 3 personnes qui lisent toutes l'huma.
Maurice monte dans la ligne 14. Les portes se ferment, se rouvrent, se referment, le train démarre.
Le RER est mis en place sur le mauvais quai.
Maurice est assis entre 4 néerlandais, ou au moins néerlandophones. Ca crique de partout.
Maurice est sur le palier menant à son travail, il ne reconnait rien, sa boite n'est plus là.
Roger, un homme barbu, s'approche de lui : "vous cherchez quelque chose ?"
Là, Maurice réflêchit. "Non, je crois que je me suis gourré d'étages"
Maurice, il habite à gare du nord, et il prend le RER à gare de Lyon. A croire que les journalistes se plaisent à se foutre de sa gueule.
"Et bien, Francis, on vous retrouvera, toujours en direct de la gare du nord, à 7h30"
Maurice, s'habille en vitesse tout en finissant sa tartine de jambon. Un yaourt, un coup de brosse à dents, il est dehors.
Il marche d'un pas rapide, arrive à gare du nord, fait le tour des quais. Le journaliste est là, dans un coin, un café à la main.
Maurice se fait discret, se terre derrière un journal acheté chez Relay et fixe sa montre.
Francis sort son microphone. Maurice s'approche en sifflotant et se rue sur le journaliste.
Francis y est pas pour grand chose, mais aujourd'hui il va payer pour les autres.
"Ici à gare du nord, les voyageurs sont... Bordel ! Mais qu'est-ce que...
- Rooh ! Mais vous pourriez pas regarder où vous allez ? Pas possible d'être aussi stupide !"
Maurice est content, il est passé à la radio. Il a insulté un journaleux. Sa journée en est illuminée. Rien ne pourra plus la gacher.
Francis continue son direct, mais du poing, il jette quelques obscurs malédictions dont Maurice n'a cure.
Maurice est dans le métro, ligne 4. Autour de lui, partageant son carré, 3 personnes qui lisent toutes l'huma.
Maurice monte dans la ligne 14. Les portes se ferment, se rouvrent, se referment, le train démarre.
Le RER est mis en place sur le mauvais quai.
Maurice est assis entre 4 néerlandais, ou au moins néerlandophones. Ca crique de partout.
Maurice est sur le palier menant à son travail, il ne reconnait rien, sa boite n'est plus là.
Roger, un homme barbu, s'approche de lui : "vous cherchez quelque chose ?"
Là, Maurice réflêchit. "Non, je crois que je me suis gourré d'étages"